« Lorsqu’on a refusé de s’asseoir, ils ont compris que quelque chose n’allait pas » raconte Guislaine David, secrétaire générale de la FSU-SNUipp. « Ils ne s’y attendaient pas. C’est très rare que l’on fasse ce genre de chose. C’est un geste à la hauteur de leur déni démocratique »